Tuesday, July 31, 2007

Google Campaign Optimizer: "These Go To Eleven"



Who doesn't remember the scene from Spinal Tap with the amplifiers that go not to ten, but to eleven? Well, Google has apparently learned to apply a similar tactic with the release of its Campaign Optimizer tool today. SEL has covered it already, but for redundancy's sake it's an automated tool that spits out suggestions to advertisers for how they can enhance their already running campaigns. Typical suggestions:

* Change [read: increase] daily budget
* Add new keywords [never will the system suggest eliminating keywords]
* Change keyword matching options [always to broader, more expansive match types such as Phrase & Broad Match]
* Adjust keyword maximum cost-per-click bid [upwards, of course]
* Change ad text

GOOG will undoubtedly get some uptake from small to midsize advertisers who don't know better, but this makes no more sense for the advertiser than do amplifiers that 'go to eleven'. Decisions on daily budget, match types, keyword addition/deletion, campaign structure, CPC and ad copy are best made by inhouse or SEM agency teams that can look at both cost *and* revenue/margin data.

That said, however, bravo to the folks at the 'Plex for pulling a play from the Spinal Tap book.

Thursday, July 19, 2007

Funny SEM Anecdote: Le Chat

[This all happened in France, so imagine I'm tell you this in French]

A French guy I know was at a meeting in Paris with a French SEM & their client. The SEM had a recent list of the top 100 search terms, and while talking about keyword generation he motioned to the list on the wall next to him and to prove a point about the ever-changing nature of top search queries, said "See here? 'Cat' is one of the top 10 search terms. Why 'cat' and not 'dog', no one knows, that's how varied users' search queries are."

The French client sitting across from him said "Maybe it's because 'cat' ('chat', in French) means 'chat' in English...

Wednesday, July 18, 2007

Je m'en tape de ROI, je veux la remise!






I'm in France and this post is about the French SEM market, so it'll be... written in [my bad] French. If you can't read French, just imagine I've written something intelligent.]

Ca fait un mois que je suis en France pour démarrer Efficient Frontier à Paris. Les annonceurs français dépensent un plus grand pourcentage de leur budget marketing en liens sponsorisées que leurs homologues américains, et la croissance de leurs campagnes est toujours très forte. Tellement forte que, quand je vais présenter aux annonceurs, il n'y a que très peu qui ont un vrai problème. En plus, la selectionnement d'agence SEM se fait plutôt par rapport a quel remise reçoit l'agence du régis, et non pas la valeur ajoute pas l'agence.

Depuis 4 ans j’essaie de prouver et faire comprendre aux annonceurs américains et anglais que notre gestion mots-clés, à base d'algorithmes provenant du monde boursier, est unique et trés important pour optimiser leurs campagnes, mais ce n'est pas facile. D'abord, essayez de convaincre à un annonceur qui ne ressent aucun mal qu'il va se cogner la tete à un moment dans le future, contre un seuil de volume dans son search marketing au dela duquel il ne pourront trouver plus de revenue ou de marge. La nature humaine est telle que la plupart des annonceurs (y inclus, pour vous faire peur dans vos investissements boursiers, les sociétés cotées en bourse et qui dépendent du marketing online pour leur croissance) devront subir un mal avant qu'ils seront prets à sortir du 'comfortable'.

Je peux vous raconter au moins 25 meetings ou la première et dernière question sortie de la bouche de l'annonceur c'était "Vous avez quoi comme remise?" comme si c'était la seule chose d'importante. Pour moi, c'est la meilleur preuve que les 'leaders' du marché français (qui d'ailleurs n'ont rien de spécial mise à part avoir commencé le cours la première), n'ont rien à offrir sauf la remise. Par contre, le jour ou Google élimine la remise, au revoir au plupart des agences SEM français qui n'ont pas de techno, pas de atout.

La raison pour laquelle mes collègues et moi mettent la plupart de notre temps à travailler avec ceux qui dépensent $100K-$1M+/mois en ppc, c'est que ces grands annonceurs - et non pas les annonceurs récents ou de tailles moyennes - sont ceux qui sont deja arrivé (ou vont bientôt arriver) à cet seuil de croissance.

Ces annonceurs-là ont appris ce que sont les limitations des systèmes de bid management à base de règles, et ils ont deja subis des malheurs à force de gérer leurs mots-clés à la main. Ils savent aussi que les acteurs comme BidBuddy, eSearchVision et autre sont des voleurs qui profite du moment d'inexpérience du marché.

Ils savent aussi qu'à force de ne pas avoir une visibilité stratégique sur les points d'efficacités de leurs campagnes, ils finissent par ne pas faire leur chiffre et ensuite faire chuter l'action de 10-30%. C'EST A CE MOMENT-Là que les guerres religieuses et le bullshit sortent par la fenêtre, et le PDG finance rentre dans le SEM pour demander la visibilité stratégique qu'on lui a dit viendrait avec search et online marketing.

Qui peut disputer le fait que le SEM deviennent un calcul sans fin? Certes, il y a du travail marketing qui sera toujours mieux fait par l'être humain - ad copy, optimization pages web, etc (autrement dit, réactions à Quality Score) - mais bid management est en train de devenir un monde d'algorithmes également chez Google et chez l'annonceur.

 
Google Analytics Alternative